ð Peter B. Parker* ð PERFECT MEMBER Messages : 11 Date d'inscription : 17/09/2013
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| Sujet: Peter B. Parker - Spider-Man Mar 17 Sep - 6:54 | |
| Peter Benjamin Parker | | Spider-Man | ■ Age ● 20 ans ■ Date de naissance ● XX / XX / 1992 ■ Lieu de naissance ● New-York ■ Nationalité ● Américaine ■ Code génétique ● Humain modifié par la Science ■ Groupe ● Résistance
| Psychological profile
Les caractères de Spiper-Man et Peter Parker sont très différents, ce qui peut paraitre paradoxal puisqu’il s’agit bien de la même personne. Pourtant, revêtir ce masque semble le transformer. Néanmoins, certaines constantes restent. Ainsi, qu’il soit masqué ou non, il a tendance à parler tout seul. Il reste aussi blagueur et relativement ouvert et surtout, sa vision de la Justice reste la même, c’est important à signaler, puisque c’est surtout ce point qui est à l’origine de la naissance de Spider-Man. Au-delà de cela, il vaut mieux évoquer les distinctions…
Peter Parker est un jeune adulte qui manque cruellement de charisme et, se faisant, d’assurance. Cela s’explique par son enfance et son adolescence de « premier de la classe » où il fut souvent méprisé par ses camarades, mais nous y reviendront. Toujours est-il que ce manque de confiance en lui est un marqueur très important de sa personnalité, ce qui induit chez lui quelques hésitations, parfois même des difficultés à s’exprimer. Peter est un jeune homme très intelligent, très doué en physique-chimie et pourrait avoir une véritable carrière de grand scientifique, du moins s’il n’avait pas pour passe-temps d’arpenter les rues de New-York pour défendre la veuve et l’orphelin. Cette intelligence lui est parfois utile lorsque certains adversaires utilisent la science pour mettre en danger le monde : comme le fit le Docteur Octopus par exemple. Il faut aussi signaler, en conclusion, que Peter est d’humeur assez changeante. Il trouve toujours de bonnes raisons à cela, mais il est clairement très lunatique : le moindre événement peut casser sa bonne humeur ou bien l’énerver.
Spider-Man est lui légèrement différent. Sûr de sa force, il est souvent rempli d’assurance et, face à des malfrats de piètre envergure, il peut même paraitre arrogant par certaines de ses blagues ou humiliations qu’il peut faire subir. Cette tendance est assez naturelle et est sans doute une réponse aux critiques qu’il a pu subir étant plus jeune. Toujours est-il que cela peut parfois le mettre en danger, même si c’est un défaut qu’il corrige au maximum et qui n’apparait généralement que très rarement. Le fait est que Spider-Man est un adepte convaincu de la petite blague. L’homme araignée est aussi, en quelques sortes, une rock-star. Il veut être aimé et il adore être acclamé par les foules, que l’on reconnaisse sa valeur. Dans leur comportement observé strictement objectivement et sans la moindre réflexion psychologique, nous pourrions aussi dire que Spider-Man est très courageux, alors que Peter serait à l’opposé, presque lâche. Mais en réalité, ce n’est pas que le jeune Parker soit lâche, mais plutôt qu’il ne veut surtout pas être découvert. Cela l’oblige donc à disparaitre face à un danger pour aller se changer.
De là vient, bien évidemment, la difficile acceptation de la loi du Gouvernement. S’il a d’abord été aux côtés de Tony Stark, il s’est rapidement ravisé après que sa tante May se soit fait assassiner à cause de sa méprise. Ce drame familial, un de plus pour le jeune super-héros, l’a confirmé qu’il valait mieux être masqué, même si c’était un peu tard pour lui. C’est pourquoi il décida de rejoindre Captain America dans la Résistance : si lui avait fait cette erreur, il était primordial que les autres ne la fassent pas.
| Pouvoirs/aptitudes
L'homme araignée, de son petit nom frenchi, possède plusieurs pouvoirs, tous liés plus ou moins à l'animal auquel il se rapporte. Comme les arachnides, il peut en effet escalader n'importe quel surface sans la moindre prise, car les extrémités de ses mains et de ses pieds peuvent "coller" à n'importe quelle surface. Comme ses cousins à huit pattes, il peut aussi tisser des toiles, ici à volonté et à l'infini, ce qui lui permet de se déplacer de lianes en lianes entre des immeubles à n'importe quel hauteur que ce soit, pourvu que les grattes-ciels soient hauts. Malheureusement, Peter n'a pas hérité de six nouveaux bras, c'est tant mieux diront certains, car il aurait sans doute sérieusement perdu en charisme. A côté de cela, Spider-Man possède aussi un "Sixième Sens" qui, à défaut de lui faire voir Casper, le prévient d'un danger imminent. Une sorte de sens radar difficile à comprendre mais qui lui permet de n'être que très rarement pris au dépourvu. Enfin, Spider-Man a aussi des capacités physiques hors du commun : réflexes accrues, résistances aux coups, force herculienne (il arrête un train à la force de ses petits bras le garçon, mine de rien...) et surtout, surtout, un physique d'Apollon du jour au lendemain. Le rêve de tout homme, pour lui, est réalisé : se coucher gringalet avec du chocolat plein la bouche pour se lever avec deux tablettes à la place des abdominaux. Normal.
| Costume
Le costume de Spider-Man est particulièrement haut en couleur. Signalons tout d’abord qu’il recouvre la totalité de son corps puisque pas un seul millimètre carré de peau ne dépasse. Les couleurs ensuite sont au nombre de deux, principalement : le Rouge et le Bleu. Un mélange détonnant de deux couleurs primaires qui donnent un look qu’il est difficile de ne pas remarquer. Il est difficile de décrire la matière qui compose le costume : il s’agit sans doute d’une fibre synthétique aux propriétés de protection et d’absorption de la sueur particulièrement efficace. Néanmoins, il ne faut pas oublier un « détail » sur l’apparence général du costume : en effet, la totalité du tissu est parcouru de traits noirs/gris qui forment une toile d’araignée, ceci bien entendu dans le but de rappeler l’animal duquel il tient son sobriquet et ses pouvoirs.
Enfin, dernier point, le symbole : Un imposant dessin d’araignée trône sur le torse du héros. Noir et particulièrement stylisé, il ajoute, sans aucun doute possible, une dose de classe non négligeable. La même araignée, légèrement plus grosse, est également sur le dos du super-héros : du côté pile ou du côté face, il garde cette classe si particulière qu’est celle des super-héros.
| Histoire
« Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. »Hero - Nickelback Peter nait en 1992 dans une famille d’apparence banale des Etats-Unis, mais qui ne l’était en réalité pas vraiment. Ses parents, agents gouvernementaux, étaient fréquemment employés dans des missions dangereuses. Alors qu’il est heureux avec eux, même s’il doit tout de même très souvent être confié à son oncle et sa tante pour permettre à ses parents de faire leur devoir, un premier drame va changer sa vie : à six ans, ses parents seront tués au cours d’une mission. Pupille de la nation, il sera finalement confié à son oncle et sa tante car ils avaient déjà prouvés leur bienveillance et leur capacité à élever Peter. Benjamin (« Ben ») et May Parker vont alors tenter de faire oublier le désert affectif que peut représenter la mort de ses parents à Peter en lui offrant une éducation exemplaire placée sous le signe de l’amour, de la confiance et du dialogue. Même s’ils ne sont pas riches, ils le comblent en lui offrant tout ce qu’un enfant peut vouloir d’essentiel : de l’attention. Très rapidement, une jeune fille de son âge va emménager à côté de la maison des Parker : Mary-Jane Watson. Dès qu’il la voit, Peter tombe éperdument amoureux d’elle, de sa crinière de feu comme de son sourire de jeune fille pas si innocente que cela. Néanmoins, si Peter est très heureux chez son oncle et sa tante, ce n’est pas le cas à l’extérieur. Très doué à l’école, et particulièrement en science, son intelligence et son physique de frêle petit binoclard lui valent des moqueries de tous ses camarades, jusqu’au lycée. Il n’est alors heureux que lorsqu’il est chez son oncle et sa tante et surtout, quand il a l’occasion de jouer avec sa voisine, Mary-Jane. Quand il grandira, si sa situation scolaire ne changea pas, il se lia d’amitié avec Harry Osborn, fils de milliardaire qui trouvera dans Peter un rejeté à prendre sous son aile, un peu comme lui l’était au vue de sa situation sociale hors du commun. Malheureusement, cette nouvelle amitié coïncida aussi avec l’éloignement progressif de celle dont il était amoureux depuis des années, Mary-Jane, que son joli minois précipitait dans les bras des pires capitaines d’équipes de Football américain de la ville (du moins, de l’avis de Peter). La situation changea au lycée. Lors d’une visite de classe d’un laboratoire, Peter demande à Mary-Jane de poser quelques instants pour la prendre en photo, soit disant pour le journal du lycée (petit vicieux de gamin…). Alors qu’il prend quelques photos, une araignée le pique, sans qu’il ne remarque de quoi il s’agissait. Si cela aurait pu être anodin, il s’avère que la bestiole s’était échappée d’un laboratoire et était très radioactive. Le soir, il se couche prématurément, exténué. La nuit, il fait un rêve étrange autour des araignées et de leurs toiles. A son réveil d’importants changements physiques le frappent : il n’a plus besoin de lunettes, alors qu’il devait en mettre depuis qu’il était enfant, et surtout, sa musculature s’est incroyablement développée, à tel point qu’on dirait qu’il a fait du sport toute sa vie. Il se rend compte aussi, courant après le bus scolaire, que ses mains sont elles aussi très étranges : très adhésives, elles ont fixés à sa peau une publicité pourtant collée à la façade du bus. Plus tard dans la journée, il lancera une toile organique, sans le vouloir. Le problème, c’est qu’il lance cette toile alors qu’il est à la cantine, mangeant tranquillement son déjeuner autour de dizaines, voire centaines de personnes. Il va donc tenter de se séparer de cette liane en effectuant un geste brusque. Malheureusement pour lui, cela ne marchera absolument pas. Pire, sa toile s’étant fixée sur un plateau, il lança le tout sur l’un des fameux capitaines d’équipes de Football qui servait de petit ami à Mary-Jane. Ce dernier, petite terreur du lycée, pris alors Peter en chasse dans le but de lui refaire le portrait. C’est face au danger que Peter se rendit compte que ses capacités étaient totalement transformées. Alors que son agresseur tentait de le frapper avec force et vitesse, il voyait tout au ralentit, ce qui lui permettait d’esquiver sans le moindre problème. Il flanqua une petite raclée à cette énergumène et quitta les lieux. Dans les rues de New-York, Peter commença à apprivoiser ses capacités : d’abord, il grimpa aux murs en collant ses mains sur les parois sans la moindre difficulté. Ce pouvoir fut pour lui presque instinctif, avec presqu’aucune difficulté pour l’apprendre. Une fois sur les toits par contre, il du vaincre sa peur pour tester ses nouvelles capacités physiques dans de grands bonds de plusieurs dizaines de mètres de distances, allant d’immeubles en immeubles. Mais face à un gouffre trop impressionnant pour être sauté d’un coup, il ne pouvait tenter le diable. C’est alors que notre super-héros en herbe tenta de tisser une toile, comme il l’avait fait à la cafétéria. Il lui fallut plus d’une heure pour effectuer le bon geste, avec la bonne concentration, lui permettant ainsi de tisser sur commande. Il restait cependant à vaincre sa peur et à se jeter dans le vide, seulement attaché à un petit fil d’apparence très fragile. Après une intense réflexion, il se jeta à l’eau, tel Tarzan effectuant son premier saut. C’était fantastique. Peter était devenu quelqu’un. Et pas n’importe qui, quelqu’un d’exceptionnel. Avec ses capacités et son nouveau physique de sportif, il ne lui manquait plus qu’une chose : de l’argent. S’il parvenait à en avoir, rien ne l’empêcherait de conquérir Mary-Jane : voilà ce qu’il se disait. Après quelques recherches, il décida de participer à un combat ouvert face à une montagne de muscle dont la récompense lui permettrait de repartir avec quelques milliers de dollars. Il s’inscrit sous le nom de « Spider-Man », qu’il gardera par la suite. Le combat, enfermé dans une cage, est pour lui très facile. Son adversaire n’a aucune chance et Peter, après avoir joué avec lui, le ridiculise totalement. Mais au moment de récupérer son dû, l’organisateur ne lui donne que cent dollars et lui demande de déguerpir. Peter, encore en grave manque d’assurance, ne sait pas quoi faire face à ce petit truand et s’en va, déçu. Lorsqu’il quitta la pièce, un voleur entre pour voler le butin et s’enfuit. Peter aurait pu l’arrêter, mais pour se venger de son propre usurpateur, il décide de le laisser s’enfuir. Lorsqu’il retourne à la voiture de son oncle, qui l’avait déposé en pensant que son neveu irait à la bibliothèque, il retrouve Oncle Ben mourant, ayant pris une balle de revolver. Un malfrat lui avait tiré dessus pour lui voler sa voiture. Il se lance alors à la poursuite de ce voleur, courant à toute vitesse, mais surtout se déplaçant en haut des avenues, de toiles en toiles, pour suivre la voiture. Après quelques minutes de courses poursuites, il parvient à l’isoler dans un entrepôt désaffecté. Peter poursuit l’assassin de son oncle et le prend à partit. C’est alors un bouleversement pour lui. L’homme qu’il avait laissé s’enfuir après son combat dans la cage était le même que celui qui avait tué son oncle. S’il avait fait ce qu’il fallait à ce moment-là, Oncle Ben serait donc toujours en vie. Abasourdi, Peter ne sait plus quoi faire. L’assassin tente alors de lui tirer dessus mais le jeune Parker le désarme et, dans la foulée, l’homme trébuche et passe à travers la fenêtre, mort. Peter restera un long moment sur les toits de New-York. Il pleura, encore et encore, la mort de son oncle par sa faute. Au fond de sa détresse, l’une des dernières phrases qu’avait prononcée son oncle résonnait dans sa tête : « Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. » Après des heures de détresse, Peter décida de suivre les enseignements de son oncle et de « ne pas se transformer en n’importe qui » : à partir de ce moment-là, il utiliserait ses pouvoir pour faire le bien, chasser le crime, et faire en sorte que tous puissent vivre en paix et en sécurité. Il se lance alors dans la confection d’un nouveau costume, plus adéquat à sa mission et, lorsqu’il fut prêt, se décida à chasser le crime. Peter affrontera d’innombrables adversaires durant les années qui suivirent : le Bouffon Vert, le Doteur Octopus, l’Homme-Sable, Venom… Son ami Harry Osborn en paiera les frais puisque son père, le Bouffon Vert « Original » sera très vite gravement blessé au cours d’un combat avec l’homme araignée et, après avoir un temps voulu assassiné Peter, Harry sera d’abord défiguré après un combat contre lui, avant qu’il ne soit gravement blessé lors d’un affrontement entre lui et Spider-Man face à l’homme sable et Vénom. Même s’il aura du mal à jongler en ses devoirs et sa vie de couple, Peter finira par conquérir Mary-Jane. Malheureusement, cela ne fonctionne pas car il refuse de la mettre en danger en acceptant de les laisser vivre l’amour : il choisit donc dans un premier temps son devoir de Justicier. Mais Mary-Jane, prise en otage par le Docteur Octopus, découvrira la véritable identité de l’araignée et « forcera » Peter à oublier cette volonté de la protéger. Malheureusement, leur couple ne tient pas et ils se séparent, car Peter est incapable d’être un petit ami à l’écoute, un étudiant de fac et un justicier masqué. Après le vote de la loi de recensement des super-héros, Peter commence par se rallier au Gouvernement et à révéler son identité, sous l’influence non négligeable de Tony Stark, qui profite de sa jeunesse et sa naïveté pour l’inciter à le suivre. Alors qu’il s’était jusqu’alors juré de protéger ses proches grâce à ce masque, il ne lui fallut pas longtemps pour regretter ce terrible choix. En effet, le Caïd, ennemi bien connu de l’homme-araignée, ne mit pas longtemps à engager détectives et tueurs pour trouver un moyen de blesser notre héros. Et ce qui devait arriver, malheureusement, arriva. Tante May et Mary-Jane furent prises pour cible par le truand et, si le jeune héros parvint à sauver sa bien-aimée, il fut trop lent pour sauver sa dernière famille. De tristesse, mais aussi de colère, il s’en prend avec virulence à Tony Stark avant de déserter les rangs des « pro-gouvernement ». Le jeune homme décida alors de rejoindre Captain America et fit une déclaration télévisuelle pour expliquer sa situation, mettre en garde le Caïd, et inciter tous les super-héros à ne pas révéler leur identité. Quitte à s’attirer les foudres des autorités…
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■ Votre pseudo ● Lelouch ■ Fréquence de connexion ● 4-5/7 ■ Comment avez-vous connu le forum ?● My best friend, Google ■ Comment trouvez-vous le forum ?● Très bien, d'où l'inscription |
Dernière édition par Peter B. Parker le Mer 18 Sep - 1:15, édité 4 fois |
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