L'hiver laissait place doucement au printemps, la saison n'était pas officiellement terminer mais les jours étaient devenus plus doux et le soleil plus présent. Cela laissait toujours le top départ pour laisser les gens sortir plus et flâner dans les parc les rues et boutiques. Une belle journée comme New York en a l'habitude. Pourtant Je ne faisais pas partie de ceux qui pouvait profiter de leur journée à prendre du bon temps quelque part dans la Grosse Pomme. J'étais de ceux qui travaillaient, au bureau ou autre part, faisant vivre la ville aussi bien que ceux qui dépensaient. Mon travail n'avait pas tellement changer depuis la Civil War, bien que la vie n'était plus la même, vraiment plus la même. Il y avait eu un changement dans l'économie et l'administration du pays, il y avait eu un sacré changement en même temps. Une guerre dans laquelle je refusais toujours de prendre partie, seul la Résistance avait accepter ma neutralité et m'avait accepter tout simplement.  C'était difficile pour moi de trouver ma place dans cette guerre des « gangs ». La seul chose de stable et qui était sûre pour moi c'était mon travail, l’université de Columbia m'offre depuis pas mal d'année un travail sûre et que j'aimais.

L'équipement des scientifiques attitré travaillant à l'unité universitaire était dans un bâtiment à part, bien que souvent des étudiants venait, travaillant sur leur thèse ou des travaux pratique. C'était toujours un plaisir d'aider un futur Archéologue ou Géophysicien en devenir. J'avais quitter mon labo et mes collègues qui vérifiaient des données sur des objets listé et analysant venant d'un site au nord du pays . J'étais passer voir un de ses starbucks ambulant qui passait à proximité de l'université, me prend un petit casse-croûte, une petite faim me tiraillant l'estomac malgré mon repas du midi. Sur le chemin du retour avec un petit sac en main et de quoi calmer mon estomac criant famine à l'intérieur, dans mon désir de me dépêcher de finit par bousculer une personne. Je rattrape l'homme évitant qu'il tombe au sol, un bon réflexe avec une seule main de libre.

-Je suis désoler, excuser moi. C'est de ma faute, je ne vous ai pas vue, un peu trop pressée.

Mon petit sac à la main, je regarde le rouquin devant moi. Il semble oppresser par chaleur avec la sueur qui se voie sur son front. Pourtant c'était la fin de l'hiver, la chaleur était douce et accompagnée d'une brise fraîche. Il devait fondre en pleins été avec des fortes chaleurs sans vent parfois. Je n'avais pas à me plaindre, je supportais très bien la chaleur ( ma peau bronzait vite et au soleil je prenait rapidement une couleur ambré) et mes origines faisait que je supportais aussi très bien le froid. Il semblait tout aussi perturbé, je l'avais certes bousculer mais je pensais pas que cela le gênerait autant. Apparemment il me connais et sait qui je suis. J'ai un sourie, j'ai beau travailler à Columbia, je n'ai jamais eu le titre de professeur, j'avais un doctorat, enfin deux, donc docteur en géophysique et en archéologie.  Enfin ce n'était pas dérangeant, il pouvait m'appeler comme il voulait, ce n'était pas grave.  Il semblait presque affoler, comme si il était porter par l'urgence, ou quelque chose de grave.

-Enchantée Philip, ravie de rencontré un confrère, qu'est ce qui vous amène ??

Je lui serre la min comme salutation. Il me cherchait moi, précisément moi. J'étais intriguée, bien que je savais que j'avais une bonne réputation dans le monde scientifique j'étais toujours surprise de voir jusqu'où cela pouvait aller. Il sort alors une clé USB qu'il brandit devant moi, insistant sur le fait que je devait voir les infos qu'elle comportait.

-Et bien dans ce cas suivez moi, on sera mieux équiper d'un ordinateur pour lire cette clé.

Je lui montre le chemin à prendre pour se diriger là où j'allais quand je lui ai rentré dedans, le bâtiments scientifique où je travaillais. Il y avait que là qu'on pouvait lire cette clée USB et trouver un endroit tranquille et adaptée pour analyser ou parler des données qu'elle contenait. En cas où on pouvait aussi demander de l'aide à mes collègues présents.

Assurée que mon confrère scientifique allait me suivre, j'ai emboîté le pas, pour traversé une partie campus. Il nous fallut quelque minutes pour arriver au bâtiment qui abritait la branche de recherche de l'université. Je l'invite à entré, tapant un code de sécurité sur un digicode à l'entrée de l'immeuble.  On traverse des couloirs, pour finir dans une pièce avec ordinateurs et divers objet de calcule et de tests pour notre travail. Je pose mon sac, où repose ma collation, que je n'ai toujours pas touché. Une bonne odeur sucré s'en dégage. Je lui montre l'ordinateur en veille où il peut brancher sa clé USB. Alors qu'il pianote sur l'ordinateur, et tout en écoutant ce qu'il me dit, je plonge une main dans le petit sac en papier et en tire un donuts nature et en croque un morceau. Je l'écoute, puis je viens à côté de lui pour regarder les relevés sur l'écran. Mes yeux le traverse enregistrant les données indiquée et mon cerveau réfléchissant à une vitesse phénoménale. Je passe une main dans mes cheveux. Hum, pour que cela se répercute ainsi, cela n'était pas d'origine naturel, cela était émit par une machine ou quelque chose de pas commun. Etre dans la résistance me permettais d'avoir pas mal de connaissance plus spéciale sur l'univers. Je pensais à une machine Asgard ou Shi'ar. Ou bien cela venait d'une autre dimension, car ce qui venait de chez nous ne pouvait pas faire autant de dégâts sur la protection naturel de la planète.

-Cela se met a la fois dans les machines – le sytème Echelon – et dans les émission naturel ? Si cela attaque le bouclier électromagnétique de la planète. Cela viens pas de chez nous, pas de cette partie du cosmos. Une activité dans l'espace à été repérer récemment ? Les type du Gouvernement peuvent aussi s’amuser avec des objets non terrien, on à un président qui à tendance à trop fouiller dans la technologie. Il faut voir les deux possibilités.