7h05, le soleil n'est pas encore décider à montré le bout de son nez a se début d'hiver. Les journée sont plus froides et plus courte. Le ciel est gris  agrémenté de nuage léger et de brume, une journée où le soleil va devoir encore jouer à cache cache avec les nuages. Une journée où le temps sera frais et où il faut se couvrir, encore trois mois avant la fin de l'hiver. Au milieu du Qeens dans une zone pavillonnaire, une insomniaque chronique sort de son lit.

Je soupire, encore une nuit avec 3 heures de sommeil, c'était pas sérieux. Pas sérieux de jouer avec mon endurance quand j'ai un boulot qui demande je suis en pleine forme et alerte. Encore une période à avoir un sommeil détraquer et à manger n'importe comment. Heureusement que j'avais un bon métabolisme sans ni grossir ni maigrir. Je finis par ouvrir les rideau de ma chambre, laissant entré la faible lumière grise du matin sans soleil, lui est pas encore lever contrairement à moi. J’enfile mes pantoufle, un gilet et sort dehors. Je voie mon souffle quand je respire, on est pas loin des gelées. Une polonaise comme moi était loin d'être frileuse. Je prend mon journal sur la pelouse et rentre aussi vite. Je pose le gilet sur mon canapé, habillé comme à mon habitude pour dormir qu'un long pull peu épais, légèrement décoloré qui m'arrive presque au genoux. J'étais dans une de ses période où je me sentais pas bien, j'avais horreur de ça aussi bien de se sentiment qui me rongeais que de l'effet que cela avait sur ma vie. De la déprime chronique, moins pire que la déprime quotidienne mais tout aussi chiant. Les personnes qui me connaissais bien pouvais reconnaître le phase où j'étais bien ou non. Car dans ses moments je colorais toujours mes cheveux en blond. Derrière la couleur associé à l'or et la pureté j’essayais de cacher ce qu'il n'allait pas. Après avoir faire chauffer du thé je m'assois sur mon canapé, tasse dans une main et journal dans l'autre. Encore un week-end à fonctionner au ralenti, au moins au boulot je pensais a autre chose, j'étais occuper, et pas toute seule. Je n'allais pas y être longtemps puisqu'a ma porte on sonna, je pose ce que j'ai dans les mains pour aller ouvrir.

-Logan ?? Qu'est ce que tu fait là si tôt ?

J'étais assez surprise de voir Logan ici, à cette heure. C'était vraiment très tôt, ce n'était pas dans ses habitudes d'être si matinal. Si moi j'aime flemmarder dans mon lit, lui il aime être tranquille le matin. Il y avait quelque d'urgent ? D'important ? Il y avait quelque chose qui n'allait pas dans la résistance, réunion urgente ou un truc dans ce genre. En plus d'être des amis proches on était tous les deux résistant, enfin lui plus que moi. Cette guerre me dépassait totalement, j'aspirais à avoir une vie normal et ni l'Alliance ni le Gouvernent pouvaient me l'apporter. Donc certes ne je n'étais pas pour vivre dans leur monde hypocrite, mais je n'étais ni une guerrière ou une résistante terroriste, jamais, je dis bien jamais je me rabaisserais à être comme Magneto. On ne pouvait pas dire que j'étais dans la meilleure des tenues pour recevoir un invitée. Mais Logan était un ami, on se connaissais depuis maintenant 12 ans, et ce n'était pas un pyjama qui allait nous empêcher de se taper la discute. J'avais beau être complexée, c'était le genre de situation où cela me faisait ni chaud ni froid. Je vois alors le sac en papier distinctif des boulangeries. Dites donc j'avais la chance d'avoir un wolverine attentionné aujourd'hui, qu'est-ce-que j'avais fait pour mériter ça ?? En tout cas j'étais touché par son intention, la pâtisserie française était sûrement ma préférée, c'était une véritable merveille pour une gourmande comme moi. Je prends alors le sachet qu'il tend et lui fait signe d'entrer.

-Entre, mets toi à l'aise. Café sans sucre comme d'hab ??

Une fois rentré je referme la porte, prend le brioche dans le sac et en mort un morceau. Puis je pose le tout sur ma table base, bois une gorgée de thé et va dans ma cuisine ouverte pour lui préparer un café. N'en buvant pas beaucoup et n'étant pas très doué pour le faire j'ai une machine à café à dosette. Tout en lui préparant une grande tasse je lui demande :

-Alors qu'est ce qui t’amène si tôt ?? Il y a un soucis dans la résistance ?

J'ai une grande tasse aux couleurs de mon pays natale fumante d'un café bien fort dans la main. De mon autre main j'éteins la machine à café à distance. Il fallait bien avouer qu'un pouvoir comme le mien dans la vie de tous les jours, était des plus utiles. Bien sûr en dehors de la maison je ne m'en servait pas, c'était niet. Je n'avais pas envie de me faire repérer par les types du gouvernement et finir enfermée avec un code barre sur la nuque. Bien sûre à la résistance on pouvait tous utiliser nos pouvoirs. Je me dirige alors vers mon canapé et dépose la tasse devant Logan avant de m'asseoir à côté de lui. Je vide le reste de mon thé et attaque le reste de la brioche. J'adorais cette texture moelleuse, le goût du beurre. Je savais très bien qu'en proposer à Logan ne servirait à rien, ce n'était pas du tout le genre d'aliment qui pouvait entré dans sa bouche. Bien que j'imaginais que cela ne devait pas être quelque chose qu'il déteste manger, plus par manque d'envie. Le type même qui ne se prend pas la tête.

Lorsqu'il parla de l'Alliance je ne pus m'empêcher de sourire intérieurement. Oui il faudrait que le pater lance une petite opération et bousille tout leur matériel en ferraille, cela les emmerderait un bon moment. Je n'aimais pas mon père biologique, mais il pouvait ce montrer utile quand il voulait. Et puis quand il s'agit de faire chier le Gouvernement je peux le supporter une heure.

-Je vais bien, dis-je en tortillant machinalement une mèche blonde.

Je serais tombé sur Wanda ce matin cela n'aurait pas été la même qu'avec Logan. En ouvrant la porte elle aurait remarqué de suite mes cheveux blonds et j'aurais eu droit à un «non mais sérieux Lorna faut te ressaisir ». Une soeur adorable mais qui était un peu casse-bonbon par moment. C'est la famille.

-Coup de blues c'est tout, rien de bien méchant....

Petit bout par petit bout, je finis par manger toute la brioche. Un vrai petit régale. J’eus un soupir, à croire que Logan me connaissais aussi bien que ma sœur. En même temps ce n'était pas mon ami le plus proche pour rien. J'avais beaucoup plus de mal à me lier à la gente masculine, j'avais plutôt de mauvaise aventures avec eux. Donc pour se faire des amis hommes c'était compliquer pour moi. Avec Logan c'était différent. Trop différent, je n'aurais jamais cru m'attacher de nouveau ainsi a un homme. Je ne voulais plus que cela arrive mais comme on dit c'est quelque chose qu'on ne contrôle pas, loin de là. Heureusement j'étais douée pour cacher mes émotions et les gardés pour moi (bien que parfois c'était si dure que je préférais l'éviter ou carrément fuir une situation). En tout si moi je pouvais rester impassible devant cette situation dont j'avais l'habitude, convaincre Logan de la banalité de la chose n'était pas la chose la plus simple. De toute façon insister avec lui servait à rien.
Je me lève du canapé et prend le sachet où il restai le croissant, pour aller le poser sur le plan de travail dans ma cuisine. Puis je me retourne vers Logan.

-J'imagine que vu ta détermination il est impossible de refuser. Comme tu me donne pas le choix. Donne moi dix minutes.

Aussitôt dit je part dans le mini couloir qui desservit le reste de la maison pour aller dans ma chambre. D'un coup rapide je retire mon pull pyjama et me retrouve en culotte. Je m'est une tunique rouge moulante une ceinture pour la centrée avec un pantalon noir et des bottes montantes. Les cheveux attacher en arrière, je prend au vol un manteau épais et long de couleur rouge, sa caille dehors. Puis je rejoins Logan dehors. Je rangerais le bazar quand je rentrerais. D'un coup de main je ferme ma serrure de la porte.

-C'est bon je te suis.....

Je relève le col de mon blouson. Il est d'un rouge bordeaux, centré à la taille et long jusqu'à genoux. J'avais l'écharpe et le bonnet en laine de la même couleur, l'hiver j'étais habillé tout en rouge, inratable. Logan a toujours son cigare à la main. Le caractère bourru, les griffes et bien sûre le cigare était la marque de fabrique de notre Wolverine national. Sans ses truc là il n'était pas lui même. Je n'étais pas porter sur le tabac, que cela soit cigarette ou le cigare. Cela m'attirais pas et c'était cancéreux, de la vraie merde. Logan lui courait aucun risque son corps se soignait au fur et à mesure. Jeu un sourire amical face au compliment de Logan. C'était toujours agréable d'en avoir, surtout quand le moral n'est pas au rendez-vous. De plus bien que je n'avais pas à me plaindre indirectement j'étais un peu complexée. Ou pudique, je ne sais pas comment nommée cela. On ne pouvais pas dire que j'étais une habituée des motos a part avec lui j'en faisais pas énormément, mais j'étais assez à l'aise sur cette machine, cela restais du métal, donc cela me convenais. Je passe derrière lui sur sa moto. J'ai un soupir, un des rare truc que je déteste dans la vie : le contact physique. Depuis qu'Alex m'avait planter, la proximité avec un homme me dérangeais, c'était vraiment difficile et compliquer pour moi. En plus avec lui ce n'était pas pour facilité les chose. C'était un fait j'étais porte poisse. Je passe mes bras autour de lui, faut bien que je me tienne on n'est pas dans une voiture. C'est alors qu'il me parle de casque. J'avoue que je n'y est pas prêter attention, pas très important pour moi.

-Oh oui en effet, j'avoue que je n'y fait pas attention. Je vais arranger ça.

Je pose deux doigts sur ma tempe, et de créer un filme sur ma peau, un bouclier électromagnétique, fin pour protéger mais pas se voire.

-Voilà, c'est arranger.

Je m’accroche de nouveau au mutant. J'espère que cela le dérange pas, car personnellement je ne suis pas vraiment à l'aise. En tout cas je me demande ce qu'il a prévu, je ne sais pas du tout ce qu'il a en tête. Je suis totalement dans l’ignorance.

Logan me fixe pendant quelques minutes. Oui je savais cela se voyait pas, c'était le but. Il ce méfiait de la capacité de mes pouvoirs ?? Où simplement attentionné à mon égare ?? Les deux ne me dérangeais pas. Bien que je détestais me servir de mes pouvoirs en sa présence, il y avait toujours le risque qu'il ressent les ondes que j'utilise. Même si ce n'était pas visé sur lui, le reste des émanations pouvaient venir le titiller. C'était un comble : avoir un si bon ami et ne pas pouvoir être en sa compagnie autant que désirer car nos pouvoirs n'étaient pas compatibles. Toute l'histoire de ma vie en un sens. Oui mon truc était pas mal, au raz de la peau cela pouvait être une protection ou un moyen d'augmenter ma force. Puis la moto démarra, fumant dans le petit matin toujours aussi gris. Je sentais alors les vibrations de la machine, le moteur, ses piston en mouvement. Je sentais le métal en mouvement et qui chauffait doucement. C'était comme un sens en plus, où rien qu'en fermant les yeux je pouvait voir la machine, comme elle était faites sous ses boulons et soudures. Chaque morceau de métal, chaque type de métal. On pouvait associer ça à une odeur, moi j’appelais ça une essence.  On finit par quitter la ville et se retrouver sur l'autoroute. Mes cheveux suivent le vent, seul ceux au niveau du front et de mes temps de bougent, pris dans la protection que j'avais fais. La vitesse ne me fait pas peur, , tout ce qui était en métal ne me faisait pas peur car je savais qu'en cas de problème je pouvais gérer. Je sens la main de Logan sur les miennes. Ne t'en fait pas je suis bien accrocher, tenant mes poignets de la main opposées. Je n'avais pas mis à plat mes mains contre lui, trop risqué pour ses côtes.
Alors que la moto se stoppe, je pose à nouveau mes doigts sur ma tempe et fait disparaître le bouclier invisible.  La mer, qu'elle bonne idée, un endroit qui était vraiment apaisant, de mon point de vue en tout cas.

-C'est très bien, tu as eu une bonne idée, merci.

Je descend de la moto et avance de quelque pas. Le bruit des vagues et l'odeur de l'iode sont comme une berceuse.

J'avance calmement sur le sable, jusqu'à ce que les vague qui se jettent sur la plage viennent mouillés le bout de mes bottes. C'était incroyablement agréable et apaisant. La nature avait un effet incroyable sur les gens, enfin en tout cas sur moi. De plus ayant une émanation électromagnétique différente des humains de base (puisque la seule qu'on est sensé avoir est celle qui permet au cœur de fonctionner), j'étais plus sensible aux effets de la terre et des manifestation de celle-ci. Comme par exemple j'avais horreur des orages, mes détecteurs étaient tous dans le rouge et cela titillait mon émanation. Je pouvais mieux gérer un tremblement de terre d'une activité dans l'atmosphère. Les inconvénients comme bien d'autres de mon pouvoir. J'aime cette odeur d'iode dans mon nez, cela me rappel mes vacance lors de mon enfance. Mes parents adoptifs allaient tous les deux ans au bord de la mer, puisque mon oncle avait de la famille au nord du pays. Des heures d’insouciance avec Zala, sœur et cousine à la fois. Je tourne la tête vers Logan, cela semble avoir le même effet sur lui. J'étais des plus déconcerté, qui aurait cru qu'il était du genre à flâner sur la plage devant un lever de soleil. Il nous surprendra  toujours le Wolverine. Face au vent qui ramène une mèche blonde sur le visage, je n'ai pas le temps de la remettre derrière mon oreille que mon collègue mutant s'en charge. Qui pourrait croire, que derrière le bourru et ennemis impitoyable et presque sauvage pouvais se cacher autant d'attention et même de tendresse. Parfois j'avais l'impression qu'il y avait deux personne en lui.  

Avec ma main le long de mon corps, j'expulse de micro-pulsations qui jouent sur l'eau et la fait bouger en hauteur. Comme les niveaux de son sur une table de mixage. Je n'avais jamais eu le prétention de pouvoir avoir un quelconque pouvoir sur l'eau, mais la physique voulais que l’électricité et l'eau était liés. Je regarde Logan du coin de l'oeil. Une idée vient de me traversé l'esprit, mais je n'avais aucune idée de comment il allait réagir. Je ne voulais pas le mettre en rogne, mais l'embêter un peu serais fun. Comme tomber en enfance : m’amener à la mer.  Avec un petit sourire en coin  j'utilise les micro-pulsations pour éclabousser Logan, en espérant qu'il le prenne pas mal.

Enfin de compte, on pouvait bien voir qu'il fallait plus que de l'eau pour vexer Wolverine. Rire et s'amuser ne pouvait pas nous faire de mal, au contraire dans le contexte actuel, cela pouvait que nous faire du bien. Pensée à autre chose, avoir l'esprit ailleurs, loin de tous les soucis et les tourments de l'homme désirant sa liberté. Par contre si j'étais agréablement surprise que cela l'amuse autant que moi, je ne penserais pas que cela ferait sortie un côté enfantin chez Logan. C'était perturbant. Pourtant je me suis reculer un peu. Ah non pas à l'eau !! Hors que question qu'il me mette dans l'eau, avec se temps j'allais attraper une pneumonie. Je veux pas tomber malade, non mais !! Tu m'aura pas !! Jouer au chat et à la sourie ?? Un peu ironique avec Logan, mais des plus amusant. Il finit par m'attraper, a bras le corps, un peu comme les rugbyman lors des plaquage mais en beaucoup mois violent. Le mouvement fait qu'on perd équilibre et on finit se sable à rouler sur quelques mètres. Des mèches blondes dans les yeux, quelqu'un grains de sables sur mon manteau rouge, je suis un peu essoufflée après avoir couru. On était si proche, a sentir le souffle de l'autre. Cette boule dans mon ventre que j'avais à chaque fois, que j'ai eu à chaque fois. Instinctivement, sans prévenir, je colle mes lèves aux siennes. Cela à été plus fort que moi, je n'ai pas pus résister. Je me délectais de se contact. La boule disparaissait, pour laisser place à une chaleur envahissante. Accompagner de cette énergie si spécifique quand mes pouvoirs sont au sommet de leur capacités. Je sens la chaleur monter, cette énergie si forte et qui en demande plus. Le sable vibre, le sens en dessous de nous. J'ouvre les yeux. Mais quel imbécile !! L'eau et le sable n'étaient pas les seule à subir les effets de mon pouvoir, la première matière à en être esclave était le métal. Je brise le baiser, me relevant et m'éloignant un peu, honteuse de mettre comporté ainsi.

-Je suis désoler. Je n'aurais pus dû....

J'ose pas le regarder. J'ai vraiment honte de moi. J'aurais pus lui déboîter un membre, décoller une côte ou pire. Je ne sais pas quel effet cela à eu sur lui, mais je n'étais pas stupide : cela n'avait pas été agréable. Sur ma manche, il y a un bouton décoratif en métal, je le frotte et regarde mon reflet dedans. Je voie que mes yeux son vert, trop vert. Il devra attendre qu'ils redeviennent bleu pour m’approcher.

Fixant la mer en face de moi et ses va et viens, je reprend mon souffle. Entre la course poursuite et le baisser, mon cœur s'était pas mal emballé. Ce n'était pas la première fois que je ressentais, mais cela avait toujours le même effet sur moi. Cela m'avait fait le même chose au première baiser avec Alex et lors de notre première fois. Mais là c'était différent. Havok ne craignait rien de mon pouvoir, ce qui n'était pas le cas de Logan. Je m'en voulait de l'avoir fait pour deux raison : la première j'étais griller, il connaissait mes sentiments et pour resté discrète c'était fichu. Je n'étais pas d'humeur à être repousser ou par miracle prêt à avoir une relation. La seconde, était tout simplement que nos pouvoir n'étaient pas compatibles, j'étais réellement dangereuse pour lui, et malheureusement il ne semblait pas en avoir conscience. En gros c'était la merde. C'était le genre de situation dont j'avais horreur et dans lesquelles je perdais mes moyens. C'était difficile et compliqué pour moi. A écouter ce qu'il venait de dire c'était simple et facile. Hum, cela avait un véritable compliment et soulagement pour moi, cela ne changerais.

-Je ne voulais pas te bléser, je ne veux pas te bléser Logan...

Je n'ai ni le courage ni la force de pouvoir m’approcher de lui. Je ne veux pas, pas tant que mon corps ne sera pas au repos. Il ne semble pas comprendre ou en tout cas n'est pas de cet avis et contre mon avertissement s’approche quand même. Je sens sa peau sur ma joue, mais je fixe toujours devant moi. Je sens aussi chaque parcelle adamantium de se corps, chaque griffe rétractée dans ses avant bras si proches de mon visage. Je le sens, cela me parcours encore le corps et le sable vibre toujours sous mes pieds, cela va mettre du temps à passer. Je le laisse faire, je ne vais pas le repousser, je ne veux pas le bléser, moralement cette fois. Mais je ne peux pas faire de même. Je laisse mes bras le long de mon corps le regard un peu dans le vide priant pour que l'énergie de mon corps finisse par se dissiper. Une larme coule sur ma joue, comment il peut supporter ça ??

-Quand est ce que tu va comprendre que je suis dangereuse pour toi ??

Je reste contre Logan pendant un moment. Jusqu’à ce qu'il décide de retourner contempler l'horizon. Il reste silencieux, j'aime pas ça. J'ai comme un mauvais pressentiment, comme si tout était en train de foiré.  Mais qu'est ce que j'avais encore fais ?? J'étais une vraie calamité, il y avait que moi pour attirer les emmerdes et les complications. Qu'est ce que j'avais fait pour mériter ça ? Je me sens mal, très mal, j'en peut plus de me sentir si frustré, emprisonner et avec ce mal être au fond de moi. Vu la situation cela ne peut pas être pire, et niveau sentiments il était savait à présent. Alors autant aller jusqu'à bout.  Rentré ? Non, je ne voulais pas que cela reste ainsi. Je ne voulais pas perdre malgré les sentiments cette véritable amitié qu'il y a toujours eu. Je me met face à lui posant une main sur son bras, tendant d'être le plus doux et tendre possible.

-Ecoute, je suis désoler si se baiser t'a offenser. Ce n'était pas mon but. Loin de là, j'ai juste briser mes barrière et laisser mes émotions parlées. Il est maintenant trop tard pour renier ce que je ressens et en aucun cas, je dit bien aucun cas je renie ce que toi tu ressent. C'est que.....que j'ai une vie si compliquée. J'ai jamais eu de chance dans ma vie sentimentale, la dernière fois, cela s'est très mal terminé. Je ne sais pas si c'était de ma faute, mais je ne veux pas tout faire foiré encore une fois. De plus j'ai vraiment du mal à l'idée de te faire mal Logan, nos pouvoirs se sont pas à prendre à lé légère. Crois-moi je le vivrais très mal si à cause de moi tu subissait quelque chose. Je n'ai pas le droit de te faire souffrir dans tous les sens du terme, tu mérite beaucoup mieux que cela. S'il te plaît ne m'en veut pas, je veux juste te protéger.

C'était pas facile à dire, mais cela avait besoin de sortir. Il le fallait, aussi bien pour moi que pour lui. Il devait savoir ce que j'avais au fond de moi, que je ne le repoussait pas. Dans d'autre circonstance j'aurais été folle de joie de voir que mes sentiments étaient partagées. Même dans le cas actuel, j'étais tellement soulagée , cela faisait un bien fou. Mais je ne voulais pas que cette vie si compliquée se mettre entre nous deux. Je ne voulais pas que tout lien soit couper, il était tellement important pour moi. Cette fois-ci c'est moi qui entoura mes bras autour de lui, posant ma tête contre son torse.

-Je suis désoler d'avoir tout gâcher. C'est de ma faute. Mais je ne veux pas te perdre Logan...

Être contre lui était si agréable. Le contact, la chaleur (aussi bien la chaleur humaine que celle du corps avec le froid qui faisait), de pouvoir montré toute son affection sans se sentir perdre pied. Je pouvais apprécier ce contact sans me soucier de lui faire du mal ou non. J'eu un petit sourire ; oui j'aime toujours rêver pouvoir cogner Alex après ce qu'il m'avait fait. En toute honnêteté voir Wolverine casse les gueule à Alex m'aurais fait plaisir. Cela m'avait tellement manquer, de pouvoir aimer , de pouvoir montré son affection sans n'avoir a subir de quelques effets indésirables. La dernière fois remontais à assez loin, remontais quand j'étais..... non je ne dois pas y penser. Je ne gâcherais pas se moment avec des vieux souvenirs qui remontes à la surface. Je serrais mes mains dans son dos. C'était étrange de sentit chaque parcelle de métal chaque morceaux de son corps, tout en étant rassuré que mon pouvoir était bien latent à ce moment. A ce moment on devait tout deux apprécier cette parenthèse dans la vie de tout les jours. Cet instant où la vie semblait légère, où nos cœur si renfermé et frustrés pouvaient se libérer et laisser parler tout ce qu'ils avaient en eux. Un instant où deux âme se trouvait, bien que le chemin et la destination était incertaine.

-Je suis vraiment désoler que ma vie si compliquée, complique aussi la tienne tu ne le mérite pas. J'aime pas cette idée que c'est moi qui t'attire les emmerdes. Quand a nos pouvoirs, il n'y a pas de responsable tu n'a pas forcément souhaiter d'être.......plomber. Mais il est vrai que mes émotions sont plus dangereuses pour toi que l'inverse.

De l'entendre dire cela me faisait frisonner. J'aurais aimer l'entendre plus souvent, l'entendre dit dit sincèrement plus souvent. Pourtant, moi même j'ai encore du mal avec se mots : aimer. Je n'arrive plus à le dire. Comme si il était inaccessible, interdit. Je me recule un peu, pour pouvoir en face de moi. J'ai un soupir. Doucement de pose un baiser sur le bord de ses lèvres.

-Je ne veux pas t'imposer cette vie, cela serait totalement égoïste. Je ne sais pas si je suis encore capable d'avoir.....une relation sans tout foutre en l'air. Tu mérite une femme qui puisse te rendre heureux et te combler....dans tous les sens du terme.