Feu d'artifice en préparation { feat. Doom

Messages : 21 Date d'inscription : 10/09/2013 Points RP : 16

Feu d'artifice en préparation

C'est parfois bon de ce dire qu'un psy serait nécessaire au bon fonctionnement de votre vie mais qu'au final, vous n'en avez rien à faire. C'était exactement la façon de penser de Gunner, il savait qu'il n'avait qu'une seule et unique obsession dans la vie, celle de retrouver l'assassin de sa femme, et il savait que pour la majeure partie du monde, c'était un souci. Aussi, il avait rejoint le seul endroit où sa folie ne serait pas regardée de travers, enfin pas tout de suite du moins. Ah oui, et il était aussi venu parce que le chèque qui allait tomber en fin de cette affaire allait lui permettre de payer ses impôts pour au moins les trois années à venir. Il était membre de l'alliance, aux ordres de Victor Von Doom, un nom qui inspirait la terreur dans le cœur de nombreuses personnes, un véritable leader charismatique, un dieu vivant pour certain, un monarque d'un petit pays mais d'une grande nation et… Gunner se moquait éperdument de ça. C'était pour lui le type qui avait besoin de ses services parce qu'il n'était pas apte, ou qu'il ne voulait pas, bouger ses fesses pour régler ses problèmes, ce qui allait très bien au lanceur de grenade.

Il était là, dans la chambre qu'on lui avait gentiment proposée, à se regarder dans la glace, le visage recouvert d'une mousse blanche et un objet tranchant dans la main. Il sifflotait un petit air très connu de Tchaïkovsky, juste assez fort pour que les autres résidents de son aile puisse avoir une certaine envie à enfoncer sa porte pour ensuite exercer une pression avec leur main sur le coup de Gunner afin de lui faire passer l'envie de chanter. Après chaque coup de rasoir sur sa barbe naissante, il balançait la lame comme un maestro guiderait un orchestre. Aussi curieux que cela pouvait sembler, personne n'ouvrit sa porte durant toute la durée de son manège et Napalm était relativement déçu d'avoir pu terminer sa toilette en paix. Il se saisi d'une chemise, car ce n'est pas tous les jours qu'on allait rencontrer le grand patron et pris également ses lunettes de visée qu'il posa sur son front dégarni. Il jeta un dernier regard dans la glace avec un petit sourire que tout spectateur aurait pu interpréter comme un "Hey awesome". Il passa la porte de la chambre et s'engouffra dans le couloir tout en sifflotant encore le même air, faisant monter crescendo quand l'œuvre originale faisait de même.

Il arriva finalement devant le bureau de monsieur Doom, ou docteur s'il on devait en référé à son titre, bien que Gunner n'était pas tout à fait sûr qu'il ait jamais fait des études pour être un véritable docteur en quoi que ce soit. Il se posta dans l'embrasure laissée par la porte ouverte afin de regarder un peu le terrain dans lequel il allait s'avancer. Il fouilla dans sa poche pour en sortir un chewing-gum à la menthe et le mettre dans sa bouche. Cette attitude risquait fort de déplaire à Doom mais c'était un peu le but recherché. Il finit par avancer d'un pas, sans y avoir été invité, pour se retrouver à l'intérieur du bureau et, seulement à ce moment là, il frappa contre le mur afin de signaler sa présence au maître des lieux. Il admira alors la tapisserie, les rideaux et même le tapis qui se trouvait par terre, tant de chose dans ce château qui pouvait éventuellement exploser si on lui demandait de le faire. Bon sang quel beau feu d'artifice ce ferrait. Il reprit vite ses esprits cependant pour ne pas oublier la raison de sa présence, une mission devait lui être confiée, sa premier depuis son arrivée, il y a deux jours environs et sans doute la raison pour laquelle on l'avait fait venir.

Il se pencha alors en avant pour lâcher un petit "Quoi de neuf, Doc ?" à son futur interlocuteur avant de s'avancer dans le bureau et de prendre place sur un des sièges qui se trouvait devant le meuble principale, continuant de mâcher énergétiquement. Il passa ses deux mains derrière sa tête et, envoyant ses jambes en l'air, posa ses pieds sur le meuble qui avait du appartenir à un roi dans le courant du 15ème siècle sans doute.

[HRP : J'ai fait un peu court, mais c'est juste histoire de démarrer]

Messages : 193 Date d'inscription : 03/02/2011 Points RP : 33

Il avait fallut à Victor un long séjour en Latvérie pour surmonter l'ulcère que lui avaient causé les derniers événements. Son Alliance, qui ourdissait des complots depuis des mois pour prendre le monde en otage, battue de vitesse par un solitaire tout juste bon à souder des fils ; l'obligation qui fut la sienne de s'allier à des justiciers pour neutraliser la menace, tout ça pour laisser l'insupportable Tony Stark récolter seul les lauriers ; puis finalement, l'insulte de trop : The Hood qui décidait de l'imiter grossièrement, en le dépossédant au passage de plusieurs de ses anciens membres. Autant d'espions qui purent informer l'encapuchonné des opérations de l'Alliance en cours. Doom avait littéralement explosé de rage, rugissant comme une bête furieuse derrière son masque de titane. Mais refusant de se donner en spectacle auprès de ses collaborateurs, le tyran s'était précipitamment isolé dans son domaine en Latvérie, pour pouvoir extérioriser sa colère loin des témoins. Livré à ses besoins de basse violence, le baron de métal se surpassa à de nombreuses reprises en torturant à mains nues des prisonniers politiques, qu'il battît comme plâtre de ses gantelets métalliques, quand il ne les grillait pas lentement à coups de décharges d'énergie. Comme le dernier des charognards, Victor se reput du désespoir, de la souffrance et de la terreur de ses victimes, se salissant les mains comme jamais, s'abaissant à ras-terre, tombant presque aussi bas que le détestable Crâne Rouge dans le domaine du sadisme. Au sortir de sa "thérapie", l'éternel rival de Red Richards ruminait toujours sa rage, mais au moins parvenait-il à la dissimuler sous un voile de froideur.

Maître de ses émotions à nouveau, Doom réintégra le château de l'Alliance, bien déterminé à lancer ses représailles. Une réponse adaptée à l'ampleur de la trahison qui, néanmoins, ne devait surtout pas aboutir à une guerre ouverte entre son organisation et les Criminals (un tel conflit étant, pour les deux camps, autodestructeur et improductif).

* Spectaculaire, mais pondérée... Voilà ce que doit être ma réaction. *

Installé à son bureau, les mains reposant sur ses accoudoirs, le régent au manteau vert arborait son armure complète, la capuche légèrement rabattue sur son masque pour suppléer à l'absence d'une chevelure. Des orbites sans vie de la sculpture supposée représenter son visage, les yeux d'un vert toxique du docteur luisaient avec malveillance, la sclérotique rougie par le manque de sommeil.

* Il faudra rapidement reprendre l'ascendant. Les petites manigances de Brain ont ébranlé l'échiquier politique du monde des super-héros ; à moins d'inclure cet imprévu à mes plans, sans tenir trop compte de cette distraction qu'est The Hood. *

D'un index métallique terminé par une griffe de titane, Victor von Doom enfonça l'une des touches du clavier de son ordinateur, lui dévoilant les sempiternels même glyphes sur lesquels il butait depuis... Trop longtemps.

* La Démonologie a ses limites, et j'ai dépensé suffisamment d'énergie sur un problème qui, de toute évidence, ne se résoudra pas de sitôt. Mon accession au Pouvoir ne se fera pas par cette voie... Heureusement, il me reste encore de nombreuses options. Vous et moi aurons bientôt une petite discussion, mademoiselle Dane. J'y veillerai. Vous ne regretterez pas notre rencontre.*

"Quoi de neuf, Doc ?" Lâcha un timbre aussi intrusif que masculin, et qui provoqua chez le maître des lieux le réflexe automatisé de refermer son dossier d'un tapotement furtif sur son clavier.

L'encadrement ouvragé de la porte du bureau offrit transitoirement de son cachet au frusque et ouvertement je-m'en-foutiste amateur d'explosions de l'Alliance : Gunner, le bien-nommé.

" Prenez place, monsieur Blake. " Formula sans chaleur le supérieur de cet ancien soldat, que l'on aurait pu imaginer plus à cheval sur le respect de la hiérarchie.

L'artificier émérite fit peser le poids de ses semelles sur le sol de la pièce, enfourchant son siège comme un transat, le tout en mâchonnant l'une de ces infâmes gommes supposées donner meilleure haleine (un cache-misère, tout au plus, qui n'avait d'autre mérite que de vous informer de la piètre hygiène buccale de votre interlocuteur). Le sans-gêne indécent affecté par Napalm fit aussitôt monter Doom dans les tours, ses nerfs étant déjà suffisamment éprouvés par les caprices et "plaisanteries" d'un certain colosse tout aussi mal éduqué. D'un timbre tranchant rendu métallique par le micro inclus dans son masque, le trentenaire cingla :

" Si le Fléau peut se permettre de jouer avec ma patience, c'est uniquement parce qu'il est invulnérable ; il y aurait bien longtemps que je l'aurais tué pour ses manquements à l'étiquette, sinon. La mission que je souhaite vous confier requiert de la discipline ; si vous en manquez, faites-le moi savoir, nous éviterons de perdre du temps. Je vous laisserai retourner dans votre chambre à gober les mouches, tandis qu'un membre plus sérieux de l'Alliance récupérera votre affectation. Et le solde qui va avec. "

L'appât du gain. Un vice qui avait contaminé l'organisation de Doom avec une inquiétante célérité, ses ravages ne se révélant qu'à la création des Criminals. À cette date, tous les criminels plus avares qu'investis s'étaient dévoilés en quittant les rangs de l'Alliance, pour foncer grossir ceux de The Hood. Même aujourd'hui, Victor soupçonnait certains de ses partenaires de n'être à ses côtés que par intérêt financier. Gunner faisait partie du lot, bien que sa véritable motivation soit d'une autre nature : l'Ennui. L'artificier ne goûtait plus à autre chose qu'aux explosions, à l'odeur de brûlé, aux détonations et à la chaleur violente d'une déflagration. Pour le pousser à obéir, il valait moins agiter la menace d'une perte de salaire que celle de rester cloîtré au château à ne rien faire (l'idéal étant malgré tout de mentionner les deux).

" Je reconnais que vous étiez mon premier choix, et qu'il me serait pénible de devoir repenser mes plans pour un autre... Prestataire. Toutefois, les récents événements m'ont rappelé à quel point il pouvait s'avérer vital de ne placer sa confiance qu'en des individus le méritant réellement. Ce qui nous amène à la raison de votre présence entre ces murs (si toutefois, vous y consentez toujours). "

Un zeste d'ironie acidifia la fin de la phrase du régent d'une petite province d'Europe centrale, qui soumis son interlocuteur à l'intensité de son regard vert. Un regard que peu de gens soutenaient d'ordinaire, sauf au sein de l'Alliance, où la chose semblait plus tenir du jeu que de l'impétuosité. Accolant une main nonchalante le long de son menton métallique, l'apprenti-sorcier fit reposer son coude gauche contre l'accoudoir, se reposant contre le dossier incurvé de son fauteuil noir. De la main droite, le tyran pianota patiemment sur son meuble. Lorsque sa voix se fit entendre de nouveau, elle repartit sur un registre plus cordial.

" Les Criminals sont une nuisance vouée à mourir prématurément ; toutefois, d'un point de vue relationnel, j'ai l'obligation de réagir pour conserver mon aura et ma réputation. Or, si ma réaction est trop prononcée, The Hood le prendra à son tour comme un affront, et ce sera l'escalade entre ses troupes et l'Alliance. Le bon compromis consiste selon moi à appliquer une réplique spectaculaire (ce qui est votre spécialité, si je ne m'abuse) sur une cible de moindre importance. Quelqu'un dont la mort brutale servira d'exemple, sans soulever une vague d'indignation ou de vindicte. "

Le raisonnement de Victor poussait en réalité la réflexion un peu plus loin : les Criminals comptaient en majorité des truands de seconde zone, des hors-la-loi à la loyauté soumise à caution et facilement impressionnables. Leur adhésion au camps de The Hood surtout à la perspective de maximiser d'éventuels profits, et pas à de puissantes convictions. Tels des dominos, ils se renversaient aisément, produisant des conséquences notables par un effet boule de neige. Que l'un d'entre eux soit victime d'une exécution spectaculaire, et la peur d'être le prochain sur la liste se répandrait telle une trainée de poudre. Les dominos se renverseraient à nouveau, privant les Criminals de leurs hommes de main. Ne resteraient de fidèles à The Hood que les plus tenaces criminels. Un groupe restreint, dépossédé de sa main-d'oeuvre, et qui ne verrait plus d'intérêt à pérenniser une structure amputée de ses effectifs.

" La cible idéale dont je vous parle se nomme Carlee Cross, plus communément appelée "Harpie". Vous l'avez probablement déjà croisée : une mutante dotée d'ailes, avec une force et une rapidité supérieures à la moyenne. Elle doit également son surnom à ses cris, dont la fréquence peut faire éclater le verre. Imaginez donc ce que cela infligerait à vos tympans... Je veux qu'elle meure, ou, au moins, qu'elle la frôle d'assez près pour lui donner à réfléchir. Faites ça pour moi, et vos semelles pourront traîner sur n'importe quelle partie de mon mobilier."

Messages : 21 Date d'inscription : 10/09/2013 Points RP : 16

Feu d'artifice en préparation

Gunner replia ses jambes à l'instant où son leader actuel commença son discours. Ce n'était pas là un retour à la raison de reconnaître la hiérarchie mais plus vite une question d'équilibre. En effet, l'artificier sentait que le monologue du docteur allait être long et pour ce qu'il en pensait ennuyeux, tant et si bien que la gravité de la chaise, actuellement soutenue par deux de ses pieds, risquait fort de chuter s'il en venait à somnoler. Il fit pencher son cou pour se préparer mentalement à suivre les indications du maître des lieux, la majeure partie des questions qui lui importaient restaient "où ?", "quand ?" et bien sûr "qui ?". Croisant les jambes pour se donner une position plus confortable, il posa son doigt sur sa bouche histoire de se donner un air plus sérieux. Seul trahissait dans ce tableau son interminable mastication à laquelle il résistait malgré tout à l'envie de faire des bulles pour encore plus agacer son interlocuteur. Gunner savait se montrer intolérant et ne respectait pas grand-chose mais il savait éperdument qu'un contrat pourrait lui échapper des mains à cause d'une mauvaise manière. Et il en avait assez de faire exploser ses pétards dans l'arrière-cour du château à en réveiller les voisins.

Dans un premier temps, le baron de métal fit ce qui allait le mieux à la majeure partie des membres regrouper dans l'enceinte de ce château, à savoir les caresser dans le sens du poil pour flatter leur égo, et dieu sait qu'ils en ont tous un plus ou moins démesuré. Qu'il s'agisse d'une déité vaniteuse, d'un mutant tyrannique, d'un démon cruel ou encore d'un néo-nazi aux idées archaïques. Il fallait reconnaître que Doom avait fait du bon boulot en réunissant tous ces êtres dont la seule et unique volonté était sans doute de prendre sa place d'une façon ou d'une autre. Mais le mercenaire était au dessus de tout ça, il se moquait éperdument qu'on lui fasse des compliments surtout avant que le travail ne soit effectué – s'il se trouvait déjà dans ce bureau avec ses pieds sur le mobilier, c'est qu'on le coïnciderait comme apte pour la mission en cours. Tant qu'à l'argent, il n'en avait pas plus besoin que ça, son statut de mercenaire n'était qu'un prétexte à tout exploser.

"Ecoutes, Victor…" parce que vouvoyer n'était décidément pas dans ses habitudes. "Pas la peine de te fatiguer à encenser mes qualités. Dit-moi juste qui exploser, c'est tout ce que je demande."

Remettre un petit coup dans la provocation ne faisait jamais de mal même si le chef de ce petit pays d'Europe devait fulminer derrière son masque. Gunner repris alors une position plus décontractée, tendant ses jambes et repositionnant ses mains sur l'arrière de son crâne avec un petit sourire narquois s'affichant sur son visage, discret certes mais bien présent. Il continua d'écouter les indications qui, à présent, parlaient directement de la cible. Dans un premier temps, il fit mention de ce nouveau groupe en ville, rassemblement de criminels notables dont il avait entendu parler. Pour être exacte, il avait entendu parler que le Caïd – un ancien employeur ayant souvent fait appel à lui – fournissait des fonds pour une nouvelle pègre qui s'installait et augmentait ses rangs de plus en plus. Une joie de pouvoir s'attaquer à ce fameux Hood. Mais l'euphorie fut très vite tuée dans l'œuf quand on lui indiqua une autre cible, une mutante surnommée Harpie. Un moins gros appât mais la faculté de voler qui était mentionnée rendait le défi intéressant. Gunner tapa ses mains sur le dessus de ses genoux avant de se relever. Il fit le tour de la chaise tout en commençant à son tour son discours, le temps de parole du baron étant visiblement écoulé.

"Donc, tu veux que je m'attaque aux groupes de voleurs du coin ? J'avoue que j'aurais préféré une cible plus… prestigieuse, à un plus haut rang. Bah, je présume que le président a déjà fort à faire avec la myriade de sous-fifres que tu vas lui envoyer. Comment va Stane depuis que son tas de ferraille a été envoyé à la casse, encore." Il posa ses avant-bras sur la chaise qu'il venait de quitter et pris un moment pour réfléchir, tout du moins donner l'impression qu'il s'adonnait à une telle activité. "Je veux bien m'en charger mais à une seule condition. Je sais ce que tu vas me dire, c'est toi le boss ici et c'est toi qui posse les conditions mais comme tu l'as dit toi-même, je suis ton premier choix et repenser tout ton plan ne pourrait permettre à ce groupe de rigolos de gagner en puissance. Du coup, à moins que tu ne veuilles encore te retrouver amputer de quelques membres."

Gunner se redressa et quitta la chaise pour parcourir la pièce en direction de la fenêtre la plus proche, gardant le silence et faire ainsi monter, dans sa tête, une certaine tension dramatique. Il observa la verdure avoisinante avant de se retourner vers son commanditaire. "Tu devras trouver quelqu'un pour moi. Je vais faire mon petit boulot dans mon coin pendant que tu lances les recherches et quand j'aurais réussi à faire taire l'oiseau de mauvais augures, je reviendrais dans ce bureau et tu me donneras un nom et une adresse." Le fou des explosions pris alors une profonde inspiration. L'inconvénient avec les chewing-gums, c'est qu'ne fois mâcher durant un trop long moment, le goût si rafraichissant disparaissait et l'on se retrouvait à mastiquer un vulgaire morceau de carton. Il visa avec sa dextérité reconnue la petite corbeille qui se situait à côté du mobilier de Doom et cracha la boule qui vola en l'air sous le regard de l'expert qui attendait de voir s'il allait faire mouche. La boule tomba pile poil dans le récipient sous un petit mouvement de victoire de Napalm. Il retourna alors son attention vers le monarque de Latvérie.

"Alors, on a un marché ?"

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