ð Cletus Kasady ð PERFECT MEMBER Messages : 40 Date d'inscription : 01/10/2013
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| Sujet: Un peu de désordre ~ [PV : Jean Grey] Dim 15 Déc - 9:41 | |
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~ Un peu de désordre ~ - Ha ha ha ! Bon appétit !!!Sur ces mots, le bout des doigts de la créature rougeâtre s'étirèrent pour aller se loger sur le corps d'un homme à moitié sonné. Il n'avait aucun espoir de s'enfuir, prisonnier dans sa propre voiture de taxi, ligoté par sa ceinture de sécurité qui l'empêchait de d’écrasé sur la porte du côté passager, attiré par le poids de la gravité. Les autres voitures dans la rues avaient formé un embouteillages et les gens s'affolaient tout autour, mais ce n'était pas la priorité de la créature qui se situait sur la voiture, les pieds sur la porte sur côté du conducteur, les bras mains à l'intérieur de la vitre cassé. Ses yeux d'un blanc aigu semblaient bouillir de colère et d'amusement à la fois. Il vidait le corps de l'homme de son énergie vital. Une petite vengeance qu'il estimait justifié. Si l'homme n'avait pas décidé de l'insulté alors qu'il passait devant la voiture sans faire attention, il ne serait pas dans une telle situation. Il était en habit normal quelques instant plus tôt. Un simple jean et une chemise à carreau rouge et blanche. Ses vêtements ont changé très vite d'aspect lorsque le symbiote avait décidé d'obéir à Cletus pour apprendre les bonnes manières à ce conducteur mal polis. À présent, il lui drainait son énergie, le sourire aux lèvres qui se dessinaient en un rictus. Il ressentait ce flux lui redonner plus d'énergie, plus de vivacité. Il se sentait déjà moins épuisé en dépit de l'état du civil qui ne lui faisait ni chaud ni froid. Bientôt, les gens sans défense qui s'excitaient dans la rue fut bientôt replacer pas d'autres personnes sans défense, du moins, ils croyaient ne pas l'être. Les policiers en tenu d'uniforme se rassemblaient autour de lui, mais il n'était pas question ne lâcher son repas, du moins pas maintenant. Sa proie allaient bientôt lâcher son dernier souffle au moment où des armes s'armèrent et des coups de feux partirent au vent. Ceux-ci atteignirent Carnage puisqu'ils ne devaient pas être mauvais au point de rater une cible immobile, mais elles n'avaient pas l'air de déranger la créature rougeâtre. Les filaments organique qui entouraient son corps se mirent à s’exciter et Cletus relâcha l'homme finalement, lui ayant laissé le vide et le froid. Il se mit debout sur ses pieds, trônant sur la voiture renversé, il fit face aux homme de la loi. Il souriait toujours en un rictus et regardait chacun d'eux comme s'ils n'étaient qu'une nouvelle attraction dans cette journée qui commençait ennuyante déjà. - Ha ha ha ! Jouons ! Ne vous bousculez pas, il y en aura pour tout le monde ! Ha ha ha !Sur ses mots, ses bras changèrent de forme graduellement. Son symbiote changeant ses mains en deux énormes haches, prêt à trancher tout ce qui heurtera la lame. Les agents semblèrent moins sûr d'eux. Un moment d'hésitation qui amusa beaucoup le sociopathe. Il en profita pour leur faire un petit saut. Il bondit vers l'avant pour descendre, mais aussi pour retrouver les policiers, plus proche de lui, à côté de leur voiture de police. Il usa de toutes ses forces pour frapper un coup. L'arme trancha le travailleur à l'épaule, mais pris également un bout de la voiture de police qui céda à la force brute. Un son déchirant se fit entendre, des coups de feux volèrent, sans savoir d'où chacun d'eux provenaient exactement tant les coups de feux résonnèrent dans la rue. - Ha ha ha ! Fauuuute ! Tu es retiré !Jouant d'un coup au baseball, il prit l'une de ses haches qui devint une batte de baseball puis d'un bras ferme, il donna un coup au collègue pour le faire voler. Il fit alors mine de cacher ses yeux du soleil pour regarder au loin. Il eu un rire victorieux alors qu'il s'apprêta à changer de jeu en fixant d'autres policiers. Ceux qui c'étaient baissé pour éviter le corps qui avait plané. Il bondit ensuite vers leur voiture, se positionnant sur le toit en position de golf maintenant, transformant sa batte en une barre de fer, celle des golfeurs. Un fer huit matérialisé au hasard. Il ne prit pas autant de temps que dans ce sport pour lancer son coup par contre. Une fois l'homme frappé, il hurla "fooooorddd" comme l'exigeait ce sport lors d'un parcourt imprévue de la balle. Un rire s'émettait plus fort de sa voix cassé. Comme c'était amusant pour lui. Qui allait devenir la prochaine balle ? Il fallait se dépêcher, sinon toutes les balles allaient s'échapper du centre de jeu ! |
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